Les couples, unis pour la vie, renforcent leurs liens par des rituels acrobatiques au printemps. Exemple ? Ces aéronefs amoureux montent en spirale, s’accrochent par les pattes et tombent ensemble en vrille. Ou ils jouent à lâcher des proies pour les rattraper.
Les manœuvres de vol pour chasser demandent énormément d’énergie. Pour l’économiser au mieux, le milan passe la plupart de son temps à somnoler sur un arbre ou à terre.
Les plumes s’usent en vol et il faut les renouveler, mais pas toutes en même temps. Les rapaces muent progressivement d’avril à septembre et gardent ainsi leurs performances.
Migrer juste ce qu’il faut
Certains milans restent dans nos régions en hiver, tandis que d’autres, à l’âme plus vagabonde, font leurs valises pour le Sud. Destination l’Espagne, ou, grand maximum, l’Afrique du Nord.
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