« Elle court et parcourt sa forêt, la martre. De nuit, le soir et le matin. Sans doute avant tout pour marquer son territoire, car le rut et les accouplements sont proches. Celle que j’observe s’accroupit et dépose peut-être quelques gouttes, rien de clairement visible. Hier, elle a posé une petite crotte assez liquide, bien loin du format théorique qu’on voit dans les guides. »
Par Jean Chevallier, au Lac du Der, Marne le 2 juillet 2014.
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