Il court, il court …
Quand le lièvre s’en va explorer son grand territoire, dîner ou retrouver les siens, c’est souvent à toute allure !
Article d'origine par Pascale Hédelin
- Niveaux :
• Cycle 1 - MS
• Cycle 1 - GS
• Cycle 2 - CP
• Cycle 2 - CE1 - Lieu : En classe - À la maison
- Ressource
Bolide à ressort
Il ne marche pas, mais avance par bonds. Il détend d’un coup ses pattes arrière et toc ! il se reçoit sur ses pattes avant. Il peut ainsi détaler à plus de 60 km/h, plus vite qu’une voiture en ville ! Son cœur bat alors très très vite.
La course des amoureux
Quand les lièvres sont amoureux, les mâles poursuivent les femelles à toutes pattes. Démarrages soudains, crochets, bonds, rondes infernales… Les derniers arrivés sont les perdants !
Un peu de natation : C’est aussi un bon nageur. Il peut traverser un cours d’eau pour aller se nourrir ou pour échapper à un chien de chasse, qui perdra ainsi sa trace.
Après l’effort, le réconfort
Ouf, un peu de repos ! Pour s’abriter, le lièvre ne creuse pas de terrier, mais il a différentes cachettes, les gîtes : un lit douillet entre des racines, au creux des herbes ou d’un buisson. Là, il s’aplatit et se tapit, bien camouflé.
Menu vert pour athlète : La nuit, c’est l’heure de manger. Au menu : plantes, racines, fleurs, bourgeons, baies, jeunes pousses, ou encore légumes des champs !
Ruses de sioux
Un renard le poursuit ? Rusé, le lièvre file tout droit… puis soudain, il tourne à angle droit, si vite que son ennemi n’a pas le temps de l’imiter. Autre feinte : il tourne, tourne et revient sur ses pas pour brouiller sa piste.

Cet article est extrait de la Petite Salamandre
n° 11
Avril - Mai 2017
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